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Les Ecrits Pourpres
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20 mai 2005

Le Donjon Partie 2

Elle est allongée contre Ciara, encore perdue dans son plaisir. Blotties l'une contre l'autre, leurs bouches se mêlent, s'emmêlent dans un long baiser. Giancarlo, applaudi et se tournant vers l'assistance :

"Voila un beau prélude mes amis, quelle merveille que le corps d'une femme. Eh bien après le beau spectacle que nous a offert votre soumise, qu'allez vous nous offrir mon cher D. ?"

D. sourit doucement, et se tournant vers l'assistance lance.

"On m'a toujours appris que les choses qu'on fait le mieux sont celles que l'on fait avec plaisir et avec son coeur. Aussi chers convives je me propose de vous offrir ce soir et d'offrir à mon aimée s. une fessée magistrale."

Elle vient de goûter au paradis dans les bras d'un ange et Ses mots réveillent en elle un violent désir de morsures infernales. Elle sent, sur sa croupe, ce léger picotement, frémissement  de la mémoire de la peau et sa vulve s'humidifie immédiatement. Elle aime quand sa main vient cadencer le désir sur sa peau : Shlac !... Chaleur en ondes de plaisir dans ses reins. Shlac ! Clac ! Vertige. Elle espère qu il ne retiendra pas sa main ni la montée de l intensité : MAGISTRALE, a-t-il dit ! Elle n est plus qu attente maintenant

Les laquais ont avancés un grand fauteuil sur lequel D. S'installe confortablement. Il déboutonne les manches de sa chemise et la retrousse doucement tout en fixant s. dans les yeux. Lentement il plie et replie le tissu en prenant tout son temps. Chaque geste est une attente supplémentaire, chaque mouvement est tout en lenteur étudiée, tout en durée. Puis jugeant que sa posture est correcte, qu'elle attend depuis assez longtemps les yeux fiévreux tremblante d'impatience. Il désigne ces genoux de sa main.

"Viens ici et à quatre pattes chienne"

Elle avance vers lui, plus féline que chienne, lentement malgré son désir d arriver vite à portée de Ses mains, redressant sa tête, balançant sa croupe de droite à gauche à chaque pas, souple, reins cambrées, puis dos rond et cambrée à nouveau, ronronnant intérieurement, le défiant d un regard amusée, complice et brûlant. Soumise, oui mais libre de faire vibrer son corps comme elle aime, elle avance en s offrant comme un animal sauvage

Il sourit, ma panthère songe t'il, ma délicieuse panthère aux griffes terribles, je vais faire de toi un petit chaton tremblant. il à un sourire carnassier tandis que sa chatte se glisse sur ces genoux, caressant de son corps la bosse que forme son sexe tendu dans son pantalon. Affolant parfum auquel vient se mêler celui de Ciara encore présent sur son corps. Il la respire profondément tout en la calant sur ces cuisses. Sa tête pendante entre ces bras elle se pose sur lui, les fesses relevées a portée de sa main. Il caresse doucement la soie des deux globes qui s'offrent à sa main. en appréciant la beauté, la douceur. Un cul parfais aime t'il à lui dire, tu as un cul parfais. Il en apprécie la rondeur, le cambré de ces reins du plat de la main. Un instant sa main glisse sur son sexe qu'il trouve humide et ouvert. il en caresse doucement les lèvres et glisse un doigt en elle avant de le porter à sa bouche pour goûter son plaisir. Il fait signe à Ciara de s'approcher et de s'agenouiller derrière s. Celle ci docile obéis sans tarder, et attend les ordres de D. Celui ci lève la main et l'abat sur une de ces fesses, pas trop fort, pas trop peu, juste de quoi donner le signal, de quoi donner le ton du concert à venir.

Elle frémit à ce premier contact. Et ses fesses s abaissent dans un réflexe instinctif de fuite, provoquant le frottement délicieux de son pubis glabre sur la cuisse de D. Immédiatement, elle se cambre plus fort, redresse sa croupe, revient chercher Sa main, osant à peine respirer, attendant la suite de la symphonie des percussions sur ses chairs

Il rabat sa main trois fois, répartissant ces coups sur les deux fesses frémissantes. Il n'augmente pas l'intensité de ces coups, gardant une impulsion constante. Il prépare son terrain il chauffe la place. Ces doigts après cela vont chercher son clitoris un instant, le caressent doucement, le font frémir, le font s'offrir. Puis sa main se relève encore, cette fois elle s'abat plus fort, faisant claquer la peau de s. sous sa main, plusieurs fois de suite, et il passe à la fesse suivante, la force des coups reste constante, mais graduellement il augmente la vitesse, puis ralenti. Il touche ainsi chacune de ces fesses une dizaine de fois et finit en appliquant quatre coups plus puissants à chaque fesse avant d'enfoncer deux de ces doigts dans son intimité et de les faire aller et venir doucement en elle.

Elle s'arqueboute, frémissante sur Ses doigts, le bas des reins irradié d ondes de plaisirs, l esprit bousculé, soulevé par la houle de la fessée, le souffle court, la peau moite et brûlante. Elle gémit, halète son plaisir et balançant ses hanches de haut en bas vient chercher les doigts de D., les enfonçant au plus profond de son intimité. Elle voudrait lui dire "Encore. Encore. Emporte moi encore" Et c'est de tout son corps qu'elle le lui dit

Il retire ces doigts de son corps tremblant de son intimité moite et les offres à sucer à la bouche de Ciara, qui s'applique à les nettoyer consciencieusement avant qu'il ne les lui reprenne relevant sa main sur elle. Cette fois ci ces coups vont en augmentant d'intensité, de l'effleurement subtil il passe aux claques de plus en plus fortes, s'abattant alternativement sur les deux fesses qui se tendent vers sa main entre chaque coups. Il garde un rythme régulier, seule varie l'intensité de ces claques sur sa peau qui doucement vire au rouge, qui se chauffe de plus en plus. Sa main libre à saisit un de ces seins et en effleure doucement le bout, joue avec tendresse avec la pointe qui se tend s'offre à ces doigts. Sa main toujours régulière s'abat sur les fesses tremblantes et les chlak de sa paume s'abattant sur elles retentissent dans la salle silencieuse, couvrant à peine les gémissements de s. Puis soudain il s'interrompt saisit la tête de Ciara et la pousse contre le sexe offert de s. celle ci immédiatement applique sa langue docile sur l'intimité ruisselante, tandis que la main qui caressait doucement le téton le saisit et le pince brutalement, contrastes entre douceur et douleur s. se cabre.

De surprise , elle laisse échapper un cri. Et ondule sous la bouche de Ciara, ondule encore sous l'emprise de la vague des coups de la fessée. Ses hanches montent et descendent, montent sans échapper à la bouche avide, reviennent vers la main de D. appelant encore malgré la brûlure intense sur ses globes incendiés, palpitante de tout son être sous les multiples sensations qui le disputent en elle. Elle sent monter en elle des désirs les plus extrêmes ; elle se sait prête maintenant, prête à jouer les plus folles partitions ... son corps danse entre plaisir et douleur et elle gémit de bonheur.

Il repousse la tête de Ciara, et libérant le sein douloureux de son étreinte il recommence à caresser le téton doucement. Sa main se relève sur elle, cette fois ci sa main tombe alternativement sur un globe puis sur l'autre, d'abord en coups espacés, faiblement, puis ces claques deviennent plus fortes et ces coups sont plus rapprochés, il augmente la vitesse et l'intensité de ces coups. Les claques retentissent dans la salle, les coups tombent sur sa peau dansante. Il fait signe à Ciara d'enfoncer ces doigts dans son intimité sans cesser d'applique ces coups sur elle, sans ralentir, augmentant la force de ces coups, laissant aller son plaisir, répondant aux mouvements du corps qui l'appelle, le demande, le souhaite. Les doigts de Ciara vont et viennent en elle, adoptant le rythme de la main qui s'abat sur sa peau offerte, tandis que sa main libre pétrit ces seins alternativement et il sent son corps liane ondulante sur lui se frotter sur son érection, redoublant son ardeur, redoublant la cadence et la puissance de sa main qui s'abat sur la peau brûlante.

Elle crie et feule et s'offre. Et roule sous le ballet de la main qui n épargne aucune parcelle de ses rotondités, chauffant les globes, irradiant la naissance des fesses, le haut des cuisses. Elle danse, prisonnière enchaînée au plaisir des doigts de Ciara, au plaisir de la douleur qui fait bouillonner son sang, qui grimpe dans son échine, envoie des éclairs rouge dans sa tête. Elle halète, crie, roule son ventre sur le membre de D., remonte encore, en apnée, vers la main, plonge loin dans un paroxysme de plaisir, toute frémissante, électrisée par chaque perception Elle sent son plaisir monter et le retient encore... elle ne veut pas céder 

Elle cherche son plaisir, cherche la jouissance, les doigts de Ciara en elle, mais pourtant elle ne veut pas céder, ne veut pas se laisser aller à la jouissance. Elle résiste, elle tient, il la sent sous lui déployer toute son énergie pour tenter de résister au plaisir qui monte en elle. Alors tournant son visage vers Giancarlo, il lui fait un signe de la tête. L'élégant quinquagénaire s'avance vers elle. Il retire sa veste et la main de D. arrête de s'abattre. Il fait allonger Ciara sur le dos sous le sexe de s. afin de lui permettre de caresser du bout de sa langue son clitoris. Puis la main de Giancarlo s'abat sur les fesses de s. reprenant le rythme de D. appliquant la même intensité a ces coups. Et les cinq doigts rejoints en une flèche de la main de D. commencent à pénétrer et à envahir son intimité.

Un long frisson parcours le corps de s. Lorsqu elle sent les doigts de D. la pénétrer. Et la texture de la main qui s abat sur ses fesses, plus fraîche et plus sèche vient à nouveau surprendre ses sens. Elle perçoit avec une acuité presque douloureuse la langue de Ciara. Et les doigts de D. poursuive leur chemin en elle. Elle respire à peine  un souffle rauque, animal a remplacé son cri et ses gémissements. A chaque coup sur ses fesses, elle enfonce plus profondément les doigts de D. en elle. Et la langue de Ciara poursuit son infernal ballet. Et la main s abat à nouveau. Les doigts de D. écartèle son intimité ruisselante, corolle palpitante qui se déploie sous le rougeoiement de la fessée , sous l ondée de la langue 

Il la sent s'abandonner, il la sent s'ouvrir, s'offrir, appeler sa main, venir le prendre sous les coups qui la plaquent contre lui, sous la douceur de la langue de Ciara et autour de sa main à lui qui la prend. Il pousse en avant, faisant progresser sa main en elle, la faisant avancer centimètre par centimètre en elle. Bientôt la jointure du pouce touche son intimité écartelée, il sent la langue de Ciara effleurer sa peau dans son mouvement de plus en plus rapide sur le clitoris palpitant. Alors plaquant sa main sur ces reins, Giancarlo abattant la sienne de plus en plus fort il s'enfonce en elle, la prend, la remplie et pousse jusqu'a ce que son sexe se referme sur son poignet.

Elle feule, râle son plaisir, sa douleur, son plaisir. Elle est vrillée sur Sa main, marionnette exsangue et vibrante sur la main de son Maître, éblouie par l arc électrique de volupté qui la parcourt. Sous la violence des sensations, elle cesse de respirer un instant, et sent l onde de plaisir la submerger irrémédiablement. Elle bascule ses hanches, ouvre la bouche et crie son orgasme, le corps secoué de spasmes d une rare intensité

Il s'immobilise en elle. Giancarlo cesse d'abattre sa main sur elle, caresse doucement sa peau brûlante et Ciara aspire son clitoris tout le temps que dure son orgasme. Elle s'abat sur lui haletante, secouée de tremblements, agitée de spasmes, et il retire doucement sa main rejoignant celles de Giancarlo et de Ciara qui la caressent doucement. Tout les convives s'approchent et un instant caressent ces fesses brûlantes les félicitant pour la beauté de l'orgasme. Chacun voulant toucher la peau brûlante de s. Puis la prenant dans ces bras il la pose sur ces genoux, saisissant sa tête il approche ces lèvres des siennes et l'embrasse lui murmurant.

"Je t'aime ma belle esclave, ma merveilleuse amante."

Un laquais s'approche d'eux tenant un plateau avec deux coupes de champagnes qu'ils prennent de leurs mains tremblantes, trinquant, ils reprennent des forces en attendant la suite des évènements.

Tenant sa coupe d une main mal assurée, elle lui rend son baiser, avec infiniment de douceur, toute tremblante encore sous le flot d émotions et cachant un instant son visage et ses yeux voilés par le plaisir, elle souffle dans son cou, au creux de son oreille :

" Je t 'aime Toi, mon Guide, mon merveilleux amour, mon diable d'homme "

Puis elle redresse la tête, radieuse, lève sa coupe vers lui puis vers Ciara et Giancarlo et enfin vers l assemblée et la vide d un trait ... et rit en frottant ses seins gonflés de plaisir contre le torse de D. Elle apprécie pleinement cet instant, être ainsi sur Ses genoux, le corps nu et encore troublé, les sens à la fois repus et aiguisés. C'est une belle soirée : Une soirée pleine !

noceals

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