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Les Ecrits Pourpres
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18 septembre 2007

La Pénitence Verset 3...

granet_pretre_autelLa douleur et la honte lui rendaient ce nouveau supplice presque insupportable. Elle aurait voulu échapper mais la voix vibrante du prêtre, comme en prêche, l'exhortait à subir sa punition sans défaillir. Elle se soumit donc et s'efforça à la plus parfaite obéissance. Elle poursuivit son ouvrage, suçant plus qu'elle ne léchait maintenant, les orteils de la statue afin d'y étouffer ses plaintes. Peu à peu la douleur se fit plus diffuse et une onde de chaleur monta dans ses reins. C'était affreux, pensa-t-elle en geignant, elle ressentait quelque chose qui pouvait s'apparenter au... plaisir. Elle était interloquée et toujours plus honteuse et horrifiée de voir que plus les efforts du Prêtre pour la punir se durcissaient plus son corps réagissait comme celui d'une dévoyée. Elle releva la tête et gémit :

"Oh mon Père, j'accepte toute punition car grande est ma faute !"

A nouveau, il afficha un bref sourire de satisfaction. Sa main avait reprise son entrejambe et désormais caressait l'entrée de sa vulve, le pouce sur son clitoris,  tandis que de l'autre, occupée sur ses reins,  dont l'index s'enfonçait dans son anneau le plus étroit, il s'attachait à conserver un mouvement régulier et constant. Peu à peu, il la sentait s'ouvrir sous la caresse et se tendre vers lui pour accueillir le doigt qui la forçait.

"Oui ta faute est grande catin ! Tu portes la faute d'Eve marquée sur ton corps, et je vais extirper le mal de toi en le cherchant au plus profond de ton être."

Il la soulevait presque alors qu'elle émettait des bruits de succion obscène en prenant les doigts de pieds du Christ dans sa bouche. A présent, son index coulissait sans le moindre problème en elle, allant et venant dans sa chaleur qui l'étreignait.  Il sortit son doigt et se mit à masser l'oeillet en y joignant son majeur.

"Oui, catin ta faute est grande et je vais te punir en conséquence... puisque tu as des pensées impures je te souillerai le corps à l'image de ton âme pervertie."

Il retira sa main de son entrejambe, saisissant son menton et appuyant ses doigts trempés de mouille sur sa bouche.

"Sens ! Tu sens la chienne en chaleur, la femelle coulante comme une fontaine, fornicatrice !"

D'une poussée ses deux doigts s'enfoncèrent, forçant ses reins alors qu'il appuyait ses autres doigts humides sur sa bouche close pour les enfoncer entre ses lèvres. Et tandis qu'il l'obligeait à accepter les doigts souillés, il commença à faire aller et venir ceux qui occupaient ses reins sans plus de ménagement, la pistonnant avec force.

Elle ouvrit la bouche pour crier son désarroi et les doigts s'y enfoncèrent. Dans une extrêmesabbat confusion, elle goûta, pour la première fois, la saveur de la luxure. Mais le prêtre ne lui laissa pas le temps de réagir. Forçant ses reins à un rythme soutenu, il tirait de sa gorge de longs gémissements de douleurs et de plaisir outrageusement mélangés qui se transformaient en gargouillis sur les doigts qui n'avaient pas quitté sa jeune bouche affolée. C'était plus que ne pouvaient en supporter ses jeunes années et ses jambes se dérobèrent. Elle dut à la sollicitude du Père Jean de ne pas se blesser en se cognant aux pierres dans son étourdissement. Il la libéra rapidement en la sentant défaillir et la retint d'un bras puissant avant qu'elle ne touche le sol. Elle frissonnait entre ses bras et son cœur cognait aussi fort que celui d'un petit oiseau captif. Il jugea qu'il était temps de lui offrir un mince répit et de la préparer à accepter la suite de sa leçon.

Il la souleva dans ses bras et l'emporta vers l'autel recouvert d'un tissu immaculé. Il l'assit avec douceur sur le rebord et s'installa entre ses cuisses entrouvertes, la serrant contre lui en entourant son dos de ses bras. Il lui caressa le dos, lissant ses fins cheveux noirs qui tombaient sur ses reins. Elle se mit à respirer plus calmement, la tête posée sur son épaule, alors que ses deux larges mains, à la fois douces et fermes, poursuivaient leurs caresses. Il la sentait s'apaiser, son souffle s'accordant à l'amplitude de son toucher et il se fit plus doux encore, énonçant de sa belle voix de basse :

"Voilà petite dévoyée, tu as eu une idée de ce que la foi peut apporter, de ce que la contrition peut t'offrir comme plaisir. Il faut t'en remettre à notre Seigneur pour toute chose, à notre Seigneur et son représentant sur terre."

Sa main avait glissé sur ses cuisses, massant la jambe sportive et fuselée de la jeune fille. Il laissa glisser sa main sur sa taille et, remontant, saisit un sein qu'il entreprit de masser doucement.

« Je ferai de toi une femme vertueuse là où n'existe qu'une fillette dévergondée, petite catin."

Son autre main saisit son menton entre ses doigts et il les fit glisser sur les lèvres légèrement tremblantes.

"Vois, cette bouche qui n'est que le siège de la parole impure. Vois ces lèvres qui sont là pour envoûter les pécheurs. Tu appelles cela un baiser, et moi je dis que c'est un appel à la fornication, c'est là que naît le mal !"

Il appuya sur ses maxillaires, forçant sa bouche à s'entrouvrir.

"C'est cette langue rose et humide, cette bouche qui est la première à goûter au péché. Je suis sûr de trouver en toi le goût des mâles qui ont enfoncé leur langue dans cette gorge. Car crois-moi, s'ils le font c'est uniquement parce qu'ils veulent bien autre chose de toi femelle."

Il écrasa ses lèvres sur les siennes, forçant sa bouche de sa langue.

satan_langue_bigAlors qu'elle commençait tout juste à s'apaiser, acceptant sa culpabilité sans plus ressentir les affres d'un plaisir odieux, et écoutant posément le prêtre, ce baiser, violent et exigeant, la surprit et la perturba comme l'aurait fait une gifle. Elle hoqueta et voulut échapper mais la poigne impitoyable de l'abbé la retint et il continua à fouiller sa bouche de sa langue, cherchant la reddition de la sienne. Elle finit par cesser de lutter, se laissant prendre dans un baiser vorace. Les bras du curé l'enserrèrent plus fort et pressèrent son corps gracile contre le torse puissant. La bure rêche de la soutane griffa sa peau délicate, la faisant frémir. Pourtant, elle souhaitait qu'il continue à la serrer ainsi, meurtrissant sa chair pour la punir encore du désir qu'elle sentait s'enflammer et que ce corps puissant lui faisait fasse rendre grâce.

Elle s'ouvrait face à lui et son corps venait se coller contre le sien, la bosse, qui déformait sa soutane,   brusquement pressée contre son entrecuisse. Il entreprit de se frotter à elle, collant le tissu rêche contre la chair sensible de son intimité. Sa bouche ne cessait pas de fouiller la sienne et la langue de la jeune fille, d'abord inerte, à présent répondait parfaitement à son baiser. Elle avait fermé les yeux et s'offrait à sa voracité, s'en faisait l'écho. Il sentait sa langue qui venait jouer avec la sienne, son souffle qui venait mourir dans sa gorge. Sa main, à présent libre, saisit son sein dont le bourgeon pointait de façon insolente. Avec jubilation, il sentit les ondoiements de ses hanches alors qu'elle se frottait contre son membre. Il se sépara de sa bouche et recula son torse.

"Vois ce que je te disais, le démon est dans ta bouche, c'est là qu'il prend naissance pour faire régner son empire sur ton corps."

Disant cela, d'un revers de la main, il fit passer sa soutane par dessus sa tête. Il ne portait absolument rien sous l'habit de bure et son corps apparut à elle. Il était musclé et un fin duvet de poils blancs recouvrait son torse viril. Elle ne put s'empêcher d'admirer cette musculature chez un homme de son âge, et son regard, presque inconsciemment, descendit sur son entrejambe pour y découvrir le sexe de l'homme d'église. C'était une barre de chair violacée, épaisse et longue qui cognait contre son ventre plat. Elle remarqua qu'à cet endroit il n'y avait pas la moindre trace de pilosité. Aussitôt elle détourna le regard rouge de honte.

"Oui catin, vois ce que fait le démon sur les pauvres mortels, vois ce que tu fais. Tu n'as pas pu t'empêcher de regarder ton œuvre, ne détourne pas les yeux de ta honte maintenant catin.

Sa main saisit sa nuque et la força à baisser le regard vers sa hampe.

"Oui regarde et constate ce qui t'attend si tu persévères dans le chemin du vice."

Saisissant sa main, il la posa sur sa hampe. Les yeux écarquillée, elle fixait cette colonne de chair que ses doigts avaient de mal à ceindre.

"Branle fille de Sodome, fais ce que te dit ta nature lubrique."

Et pour la pousser à obéir plus vite, il avait saisit un de ses tétons et le pinçait durement.

Sa main peina encore à enserrer le membre puissant, malgré la douleur insistante qui transperçaitpay_exorcisme son sein et lui faisait monter des larmes aux yeux. Elle gémit, hésitante puis, fouettée par les élancements de sa poitrine, assura sa prise et, timidement d'abord, commença à faire monter et descendre sa main. Les doigts relâchèrent un peu leur prise sur son sein et elle soupira. Son téton irradiait. Mais la rémission fut de courte durée ; l'abbé se saisit de l'autre pointe de son sein et lui fit subir le même tourment. Poussée par la douleur, elle amplifia son va et vient et pressa la verge plus nettement entre ses doigts. Il lui sembla que la virilité prenait encore de l'ampleur entre ses doigts pourtant malhabiles et, s'en effrayant, malgré les sollicitations de ses seins, elle la relâcha en la fixant les yeux écarquillés. Elle secoua la tête et murmura, suppliante :

"Je vous en prie mon Père, chassez le diable de mon corps !"

"Je vais chasser le mal de toi, mais je vais d'abord le débusquer. Puisque tu l'as laissé entrer en toi tu es coupable de turpitudes. Je vais le chasser en le faisant sortir, en te montrant à quel point il a déjà  pris possession de toi petite catin. Branle ma queue et montre-moi à quel point tu es mauvaise, ne me cache rien, je veux savoir tout ce que le démon susurre à ton oreille impure."

Il saisit la pointe de son sein et la tordit avant de la caresser. Son autre main se glissa contre son entrejambe qu'il trouva toujours trempée. Ses doigts se mirent à la caresser avec douceur.

"Tu vois déjà il parle, il suffit de le caresser pour qu'il montre son visage satanique entre tes cuisses."

Il saisit le capuchon de son clitoris et la pinça un peu avant de reprendre ses caresses.

"Branle enfant de Lilith, branle et montre-moi ton visage de femelle possédée !"

Subjuguée, elle obéit à son commandement et, faisant taire ses craintes, elle se saisit de la verge à pleine main et se mit à la masser, à l'astiquer, à la presser avec application. Elle s'échauffait à la tâche et, sentant le membre palpiter, son ventre pulsa de plus belle. Elle avait bien conscience que ses gestes lui échappaient, guidés par un instinct du plaisir qui ne pouvait être que d'essence diabolique. Alors, pour que sa purification soit possible, elle s'obligeait à ne rien réfréner et mettait une ardeur passionnée à faire vibrer le mandrin qui emplissait sa petite main afin que le prêtre puisse prendre la pleine mesure de la damnation qui était la sienne.

LAAC5Il continuait à la caresser pendant que ses doigts affolants s'activaient sur sa hampe. Il dut faire appel à toutes les ressources de sa volonté pour ne pas aussitôt la prendre, là contre le tabernacle, et défoncer sa chatte vierge à grands coups de reins violents. Mais il voulait profiter de ce corps neuf et des plaisirs qu'il pouvait lui donner. Il comptait bien en user et en abuser de ce corps et de ses douceurs. Il reprit sa bouche, qu'elle lui offrit sans résistance, répondant sans cesser de s'activer sur son sexe. Il se dégagea presque à regret de la douceur de ses lèvres. Sa main libre saisit son menton tandis que l'autre continuait à titiller son intimité.

"Tu es une catin perverse prise par le démon, et je sais où il se cache."

Il saisit sa nuque et, se reculant, la tira à genoux devant lui. Elle fixait la queue du prêtre qui se balançait devant ses yeux.

"Reprends-la, à deux mains, et continue catin."

Mécaniquement, elle prit le membre dans ses mains et recommença à le branler. Dans cette pose, les mains jointes sur la verge, on aurait pu la croire en prière.

"Oui petite putain tu as la main experte et à n'en pas douter tu es possédée au plus haut point. Voyons à quel point."

il saisit ses cheveux dans sa poigne impitoyable et attira sa tête contre son sexe le frottant sur sa joue.

"Suce-le comme dans tes rêves impurs et souillés. Avoue dans cette oeuvre toute la corruption de ton âme si tu veux être sauvée !"

Elle leva des yeux effarés vers le prête, persuadée de ne pas avoir bien compris le sens de ses paroles. Mais en voyant son regard brillant, sa bouche sévère et le sexe fier qui dominait son visage, elle comprit qu'il ne lui laissait d'autre alternative. Craintivement elle approcha sa bouche. Elle avait eu, c'est vrai, des pensées obscènes, où elle se voyait embrassant un sexe d'homme. Mais jamais sexe n'avait, dans son imagination enfantine, atteint de telle proportion ! Ses lèvres se posèrent sur le gland turgescent. Elle entendit la voix grave ordonner encore

"Suce, tentatrice !"

Elle arrondit la bouche, dardant sa langue comme pour un baiser. Le contact était étonnamment doux, agréable. Elle osa laisser entrer un peu plus du membre entre ses lèvres. Sa mâchoire crispée se détendit. Le sexe la pénétrait doucement. Elle suçotait, maladroitement, plus qu'elle ne le prenait, n'osant pas faire pénétrer plus loin un diamètre si imposant.

Il tenait ses cheveux mais la laissait faire et sa bouche hésitante caressait son gland, n'osant aller plusLe_Sabbat loin. Il décida de la laisser faire un moment, goûtant cette langue fraîche et juvénile qui découvrait le sexe d'un homme pour la première fois. Puis, il poussa doucement, enfonçant un petit peu de son mandrin entre les lèvres, faisant pénétrer son gland entièrement dans sa bouche. Elle s'immobilisa un instant et il faillit la sermonner mais il sentit que sa langue reprenait son ouvrage avec davantage d'application. Vraiment cette petite était douée ; elle le suçait avec maladresse mais avec fougue à présent, agitant sa langue sur toute la surface du gland qui occupait sa bouche. Il avança encore un peu plus, poussant sur sa tête, s'enfonçant de deux centimètre dans la bouche offerte. Elle s'immobilisa encore et il recula un peu se retirant pour revenir.

"Hummm, je sais que le diable se cache profondément en toi petite catin. Caresse mes bourses en me suçant que ta main serve le malin puisque ta bouche le cache."

Il saisit sa nuque et amplifia un peu ses coups de reins. A présent, chaque fois qu'il s'enfonçait en elle il avançait un peu plus loin dans sa gorge. Il se demandait s'il pourrait complètement enfoncer son membre dans cette gorge innocente.

Elle eut un premier haut le cœur quand il chercha à aller plus loin en elle et  se dégagea pour respirer librement, lâchant les bourses qu'elle palpait prudemment. Mais, pensant que le diable se débattait en elle par ce biais, elle reprit avec plus d'application encore la tâche que lui infligeait le prêtre, laissant sa verge envahir davantage sa bouche, luttant pour l'y conserver, la caressant de la langue avec dévotion afin qu'il soit victorieux et la sauve du malin tandis que sa main légère pressait les bourses gonflées. Aveuglément, elle suivait chacun de ses commandements et confiante en son jugement, prêtait sa bouche à son divin office pour qu'il la ramène vers la lumière divine. Plus grande était sa souffrance, meilleur serait son rachat. Elle faisait pour la première fois une fellation en s'y employant avec une telle résolution qu'on aurait pu la croire bien plus avertie sur les choses du sexe, l'instinct et la foi remplaçant de très honorable façon le réel savoir faire.

14821608_pElle s’appliquait, le Père Jean n'y trouvait rien à redire, comme une vraie professionnelle, sa bouche entourant son sexe avec attention et le massant de façon délicieuse. Il voyait ses joues se creuser alors qu'elle le pompait avec dévotion. Décidément cette chère enfant était un cadeau de la Providence, elle avait tous les talents et toutes les prédispositions. Il guidait sa tête avec sa main, enfonçant son membre entre ses deux pulpes rouges, savourant chaque mouvement de ce visage charmant qui accompagnait son désir.

"Tu suces comme une catin... si je n'étais pas là tu finirais comme la dernière des putes sûrement, vendue sur les trottoirs du vice. Suce-moi bien, oui comme tu le ferais pour un client au coin d'une ruelle et remercie le Seigneur de m'avoir mis sur ton chemin pour ta rédemption."

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Commentaires
V
Quel délice...
B
Heu... Elle est où la page suivante ?
T
Ben, il est pas mal ce petit chapitre.<br /> Si si, il est bien.<br /> Je suis calme, là.<br /> Tout va bien.<br /> Surtout, bien respirer.<br /> Calmement.<br /> Ne pas hurler.<br /> Ne pas prendre le premier avion (destination le grand nord) pour vous braquer la suite.<br /> Ne pas vous menacer du pire.<br /> Ne pas vous supplier non plus ; y a des limites….<br /> Quoique…<br /> Ca peut valoir le coup et je suis prés à tout.<br /> ….<br /> Pitié, Madame S et Monsieur D, vous ne pouvez pas nous laisser dans cette état ; un bon geste ; un petit click sur publier…
L
mais quelle idée j'ai eu de venir lire ça de bon matin hein ? Votre plume est toujours aussi belle et diablement efficace. C'est de la torture que d'arrêter en un moment pareil en tout cas.
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