12 décembre 2007
Avent d'Eux
Il y a comme l'O d'heures de pains, d'épices
Qui empaume mon « ça » peint
Des liens à faire sur des délices
Un cas d'O que l'on voudrait sien.
Il y a l'attente
Un rouge qui claque et puis glisse
Du bouts des doigts sur le satin
Un câlindrier enjoué de Ses vices
Des jeux En fait c'est presque rien.
Il y a un parfum d'O rangé qui bruisse
Dans la coupe de nos deux mains
L'impatience qui s'immisce
Quand on sait que cela vient
Des inventions des artifices
Pour en corps étirer le temps
Il y a nos coeurs qui s'emplissent
Et nos rêves enchantés en faim.
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