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Les Ecrits Pourpres
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10 mai 2008

16- Apprendre le don.

Day_after_dayMonsieur tapota du bout des doigts la pile de papiers posée devant lui avant d'ouvrir un dossier portant le nom de Sofia.

"Pour commencer faisons le point de la situation. Je ne peux vous laisser partir actuellement, même si j'en ai le désir. Sadex et ses hommes sont arrivés comme s'ils avaient le diable à leurs trousses. Je ne sais pas vraiment ce qui s'est passé, mais ils semblent avoir quelques litiges avec leurs collègues Russes. Quoi qu'il en soit la situation est actuellement des plus explosives et pour protéger mon pensionnat, et toutes les personnes qui dépendent de moi, il va encore falloir jouer le jeu un certain temps. Mais je pense que la partie va être fortement simplifiée dans les temps qui viennent et la situation devrait s'éclaircir rapidement pour nous permettre d'entamer la suite de la formation de Sofia. Mon pensionnat, Vladimir, est une école de soumission ... et de liberté. Commençons donc par faire le point sur le comportement de Sofia ainsi que sur ses aspirations. Il semble que Sofia présente quelques dispositions pour les jeux que nous enseignons dans cet établissement. La question que je vous pose avant toute chose est la suivante. Avez-vous déjà remarqué ces dispositions chez votre compagne ?"

Vlad semblait réfléchir. Il serrait Sofia contre lui et sentait son corps se recroqueviller, ses muscles se crisper d'appréhension. Que craignait-elle donc tant, son adorable petite garce ? Il l'avait entraînée dans des jeux érotiques que beaucoup auraient rejetés et elle ne lui avait pourtant jamais rien refusé. Il fallait donc que la formation dispensé en ces lieux soit bien exigeante pour qu'elle semble si peu sûre d'elle. A moins qu'elle ne douta de lui... Il attrapa son visage entre ses doigts et le releva, plongeant ses yeux dans ceux, agrandis par l'angoisse et pourtant emplis de confiance, de son amante. Il la fixa un long moment, dans un profond silence que personne ne venait perturber, avant de répondre sans la quitter des yeux.

"Oui vous avez raison, j'ai bien cru reconnaître chez elle une certaine inclination pour les jeux les plus poussés. Il me semble que ces penchants n'ont pas dû vous échapper, au regard de votre expérience. Dites-moi tout je vous prie..."

Monsieur eut un sourire à l'attention de Vlad et consulta un instant ses fiches, laissant planer un silence qui, s'il était inutile, n'en était pas moins éprouvant pour Sofia.

"Sofia présente toutes les dispositions pour devenir une soumise et une courtisane de haut vol. Ces premières heures parmi nous furent des plus prometteuses. En peu de temps, elle a conquis une forte notoriété auprès du corps enseignant. Il semble qu'elle présente une sensualité hors du commun ainsi que des prédispositions pour les jeux de liens, une résistance réelle à la contrainte et un esprit propice aux jeux les plus poussés."

Il tendit une série de clichés à Vladimir qui s'en saisit et les examina avec soin. Sofia, du coin de l'œil, observa le papier glacé et se raidit, prise d'effroi. Les clichés provenaient du cours du professeur Malthazar ; on la voyait les yeux bandés, à quatre pattes, le visage entre les cuisses de Devi, enfouie dans son entrejambe tandis qu'Elise, les yeux bandés derrière elle, la pénétrait avec un gode ceinture. Ainsi elle connaissait à présent l'identité de ses partenaires durant le cours de Malthazar. Les autres clichés la représentaient tous durant cette séance, avec des gros plans sur son visage alors que le plaisir l'emportait, la pointe de ses seins étirés par la chaînette que manipulait Malthazar, ses reins cambrés ou encore ses fesses striées de rouge. Vladimir observa un moment les images, très calmement, puis les tendit à hannahTonyRyanMonsieur avec un certain détachement qui masquait parfaitement sa jubilation.

"Intéressant en effet, très intéressant ."

Monsieur dissimula son sourire derrière ses mains croisés. Les yeux de Vladimir brillaient d'une lueur qu'il connaissait. Il se trompait rarement sur les gens et cette fois-ci encore il avait eu raison. Montrer ces photos était un pari. Après tout l'homme aurait aussi bien pu les jeter au sol et se mettre à hurler. Mais non, il avait reconnu le sensuel qui vivait en Vladimir à sa juste mesure.

"Mais cependant, nous devons demander à Sofia si c'est bien ce qu'elle désire."

Vlad s'était tourné vers elle.

"Sofia, veux-tu cela ? Devenir cela pour moi ? T'offrir ainsi à moi ?"

Mise à nue par son regard, elle se serra très fort contre lui, inspirant profondément, aspirant son odeur pour y puiser le courage de se révéler. Elle ferma les yeux. Son cœur cognait à lui faire mal à l'instant de l'aveu le plus osé qu'elle n'ait jamais fait. Elle releva les paupières et le fixa intensément, murmurant :

"Oui, je le veux Vlad, oui, si tu acceptes la responsabilité de ce don, je veux apprendre à t'appartenir parfaitement ! " Elle trembla et son regard se voila.

"Oh je t'en prie, dis-moi que ce n'est pas une folie, que tu veux bien de moi ! Je ne sais comment te dire à quel point je t'aime ! Être tienne est tout ce que je souhaite et ici j'ai compris ce que peut être cette appartenance ..."

Elle sentait la panique l'envahir, peur d'en avoir trop dit, peur de l'emmener là où il ne souhaitait pas aller. Il était loup, elle n'était rien !

Il caressa doucement ses cheveux du plat de la main, embrassant son front. Puis se tournant vers Monsieur.

"Je pense que la Sofia que j'ai vu sur ces photos est la Sofia la plus belle que je n'aie jamais vue et ce don, cette responsabilité qu'elle m'offre, je l'accepte avec joie et plaisir. Oui Sofia je te prends, je te veux telle que tu es, telle que tu peux devenir, telle que je veux que tu deviennes."

Monsieur posa ses deux mains à plat sur son bureau.

"Parfait, nous allons donc pouvoir étudier les modalités de la formation de Sofia."

il se réjouissait à présent de la situation qui redevenait enfin un peu plus normale. Il allait pouvoir faire son travail correctement et libérer le potentiel de Sofia.

" Pour commencer parlons de votre statut dans notre établissement Vladimir. Vous devrez rester en cellule, je le crains, la majeure partie de votre séjour parmi nous. Sadex loge dans une dépendance du pensionnat donc, lors de ces présences en ces lieux, il vous faudra rester enfermé ; il serait malvenu qu'il vous trouve allant à votre guise. Mais ne craignez rien, vous verrez votre soumise régulièrement. Cependant vous ne la verrez pas autrement que tout maître confiant sa soumise à cet établissement et ce dans l'intérêt du bon cursus de Sofia."

Il sourit et prit un planning dans les mains.

"Je pense cependant pouvoir vous intégrer aux soirées de monsieur Malthazar au titre d'assistant. C'est une fonction qui se tient masqué. Donc si Sofia est méritante elle se trouvera aussi à ces soirées. Je suis certain que Sofia se montrera très méritante n'est ce pas ?"

Monsieur la fixait attendant une réponse. Sofia déglutit avec difficulté. Les soirées de Malthazar ! Dire qu'elle avait pensé pouvoir y échapper et voilà qu'elles étaient maintenant le seul moyen de retrouver Vlad ! Elle parvint à rassembler suffisamment ses pensées pour répondre :

"Je pense Monsieur... que... notre professeur Monsieur Malthazar a été suffisamment satisfait de moi pour me retenir, avec deux autres camarades de ma promotion, pour la prochaine soirée... et je ferai tout ce qu'il faut pour demeurer une élève méritante, vous pouvez en être assuré"

Et disant ces mots, elle pressa discrètement la grande main de Vladimir dans la sienne comme pour bien lui faire comprendre que c'était Lui et lui seul qu'elle voulait mériter.

"Alors c'est une affaire réglée. A présent Sofia vous allez retourner en cours, rejoindre vos camarades. Vladimir et moi allons encore discuter un moment du contenu de votre cursus et régler certaines modalités de votre apprentissage."

Sofia eut un soubresaut. Il fallait qu'elle quitte Vlad... si vite ! Et lui, déjà, il se détachait d'elle, sans effort, avec douceur mais fermement, et la poussait vers Vania. Comme cela lui semblait facile et simple, si simple ! Mais elle, elle, ... elle aurait voulu ses bras encore, sa bouche, le réconfort de sa présence, la chaleur de son corps, son feu, sa voix ! Et il la laissait aller si naturellement. Elle avait mal. Et se laissait amener comme une automate par Vania. Ce ne fut que la porte franchie que l'étau affreux qui lui broyait la poitrine se desserra. Elle battit des paupières comme au sortir d'un mauvais rêve et comprit tout à coup. Vania avait raison. Vlad était prêt à recevoir son don. Bien plus près qu'elle à accepter tout ce qui en découlait. Elle venait d'en faire la première douloureuse expérience. Se soumettre n'était pas chose si aisée.

Vania la guidait à travers les couloirs, un sourire flottant sur ses lèvres, jusqu'à la salle du professeur Malthazar. Arrivée devant la porte, elle s'immobilisa et se tourna un instant vers Sofia. Sa bouche se posa près de son oreille. Confidences

"Nous sommes sœurs à présent, par les liens de la famille et ceux de notre condition. Tu apprendras.... tu apprendras vite, sois en certaine."

Puis se détournant, elle ouvrit la porte de la salle pour lui céder le passage. Sofia s'avança dans la quasi-pénombre où régnait un silence imposant. Les élèves étaient à genoux en demi-cercle et observaient la démonstration de leur professeur. Celui-ci était en train de faire courir toute une série de cordes noires sur le corps blanc d'Elise. Les liens soulignaient ses seins lourds, les mettant en valeur sans les compresser, gommaient sa taille un peu épaisse et rehaussaient sa cambrure ; le délicat tissage de corde l'enveloppait et la magnifiait. Malthazar ne leva que brièvement les yeux de son ouvrage pour les inviter à s'approcher et reprit son travail. Il vérifia un instant les noeuds tandis que Sofia se mettait aux cotés de ses collègues pensionnaires. Elise se tenait immobile, debout, les jambes serrées par un savant entrelacs, les mains contre le corps. Plusieurs cordes partaient de son corps vers les murs et le plafond de la salle, la maintenant comme la proie d'une toile d'araignée. Elle ne pouvait ni basculer en avant ou en arrière, ni sur les côtés. Respirant calmement, elle gardait les yeux clos. Malthazar recula..

"Parfait.. Voici donc une immobilisation. A présent mesdemoiselles, vous allez prendre chacune un des pinceaux de plumes que l'on va vous distribuer et vous allez caresser le corps de cette soumise jusqu'à la mener aux portes du plaisir. »

Sofia se saisit de l'outil de plume qu'une des surveillantes lui tendit, dans un état semi présent. Elle observait le corps d'Elise, magnifié par les cordes, mais ne voyait que le tissage qui la retenait. Elle avait l'impression que c'était elle qui se trouvait là, prise, oppressée, sans possibilité d'échapper. Elle frissonna, en s'approchant avec ses camarades. Ses mains tremblaient et son cœur cognait à nouveau douloureusement. Elle ferma les yeux, s'approchant du corps jusqu'à en percevoir la chaleur et se laissa glisser à genoux. Peu à peu sa respiration redevenait plus calme, plus ample et ses pensées se faisaient plus légères. Il n'y avait nulle prison que le plaisir ne puisse ouvrir. Le plaisir était un envol. Lentement, son pinceau se mit à danser sur les jambes d'Elise, tournant en arabesques sur ses chevilles, autour des cordes, frôlant les mollets en baisers de plume. Les yeux clos, elle percevait les frémissements de sa compagne et il lui semblait presque entendre les battements du sang dans les minuscules veinules qu'effleurait la plume. Elle s'était faite absente, ignorant tout du ballet de ses comparses ; elle n'entendait plus que le souffle du plaisir et son pinceau glissait sans trêve sur le corps tandis qu'elle dansait, en aveugle, autour du corps entravé, entre les corps de ses semblables, comme dans une transe paisible.

Toutes s'activaient autour de la jeune femme entravée, la caressant de leurs pinceaux qui virevoltaient autour du corps contraint. Soudain Malthazar frappa dans ses mains et toutes immobilisèrent leur geste. Passant dans les rangs, dans une tension palpable, il désignait du bout de sa cravache certaines des jeunes femmes. Immédiatement une surveillante les emportait pour les placer face contre le mur de la pièce. Il ne resta au final que quatre pensionnaires autour d'Elise, dont Sofia.

"Mesdemoiselles, vous qui vous trouvez contre le mur, puisque vous mettiez autant de passion à caresser votre amie qu'à repeindre un mur, vous terminerez cette séance en repeignant les murs de vos pinceaux. C'est donc la brique que vous aurez à mener au plaisir. Continuez donc à présent. Et si ces demoiselles faiblissent dans leur œuvre, mesdames les surveillantes, motivez-les à coups de cravache !"

Les caresses reprirent sur le corps d'Elise et sur les murs de la pièce tandis que Malthazar tournait silencieusement autour du groupe central.

C'est à peine si Sofia avait entendu le claquement des mains de leur professeur tant elle était ailleurs, toute absorbée dans les sensations. Il avait fallu qu'une surveillante stoppe ses gestes, en enserrant son poignet fermement, pour qu'elle reprenne un peu le contrôle d'elle-même en frissonnant et qu'elle se positionne en attente du verdict de Malthazar. Elle vit ses compagnes reprendre leur tâche mais demeura à genoux, assise sur ses talons, sans bouger aux pieds d'Elise, comme perdue dans le vague. Lentement, elle leva son visage vers la belle captive, observant ses traits bouleversés par le plaisir. Alors, seulement, elle se redressa sur ses genoux, ferma les paupières à nouveau et vint coller son corps, tout doucement à quelques millimètres des jambes prisonnières. Prolongeant l'esquisse de caresse de sa peau par l'extrémité du pinceau, elle vint frôler le ventre de sa compagne, le balayant en lents cercles concentriques qui se resserraient peu à peu vers le mont de Vénus, vers l'intimité palpitant sous les cordages. Elle ne voyait pas mais elle devinait, ressentait, faisait corps avec chaque frémissement de la prisonnière. Elle était Elise et elle était le pinceau. Ignorant tout de ce qui se passait autour d'elle, totalement immergée dans l'union qu'elle créait, le plaisir donné devenait sien.

Malthazar observait les mouvements des pinceaux qui couraient, jouaient en accompagnant les cordes sur le corps de la jeune femme blonde. Il observait, un sourire au coin des lèvres, les mouvements du corps d'Elise qui tentait d'aller à la rencontre des plumes légères, d'aller vers le plaisir, de le rejoindre. Les caresses se faisaient plus adroites, plus précises. Le quatuor se vouait entièrement à la soliste dont le chant commençait à résonner dans la pièce, ponctué par le claquement des cravaches qui s'abattaient sur les pensionnaires trop curieuses et qui s'enhardissaient à tourner la tête vers la mélopée.

"Continuez Mesdemoiselles, continuez ainsi, sentez son corps, sentez le plaisir qui vient de vos gestes et de vos gestes seuls. Votre amie ne peut pas chercher son plaisir, elle est dépendante de vos caresses, c'est vous qui jouez à présent, c'est vous seules qui pouvez lui donner le plaisir auquel elle aspire. Mais sachez jouer de patience, sachez faire durer ces moments."

L'entendait-elle seulement, Sofia, en cet instant où elle ne s'appartenait plus ? Sans doute, elle perçut son injonction à la patience et peut-être ce fut cette injonction qui la galvanisa, jouant sur sa nature rebelle, sur ses tensions accumulées. Il lui semblait sentir le sang d'Elise battre plus vite sous l'épiderme qu'elle frôlait de la joue, appeler le plaisir, vouloir l'apogée. Elle fut traversée d'une étrange pensée, quasi chamanique. Son pinceau n'était plus un pinceau, il était réellement le prolongement de son corps, il était matière vibrante, sexe minuscule qui s'introduisait entre les cordes, venait agacer le clitoris, sexe infime et adroit qui pénétrait dans les replis des chairs. "Je te prends Elise, je te prends et me donne, je pénètre en toi et ne fait plus qu'un avec ton plaisir" Elle ne se rendait même pas compte qu'elle se frottait contre les jambes de la captive, en caresses légères, bouche entrouverte sur un souffle de gorge, un léger halètement animal.

En silence du bout de la cravache, Malthazar intima aux autres pensionnaires de cesser leurs caresses. Tous les regards étaient braqués sur Sofia qui ondulait contre le corps d'Elise. Les deux jeunes femmes, les yeux clos, dansaient au même rythme, leurs corps s'enlaçant en caresses légères, se rejoignant dans un plaisir commun. Il laissa monter doucement le plaisir qui les emportait, les liait. Le crescendo qui résonnait se faisait plus ample jusqu'à emplir la pièce. Malthazar avança de quelques pas et fit un signe. Du fond de la pièce un homme s'avança. Il était nu, le visage recouvert d'un masque de taureau et sa virilité arrogante se balançait à demi dressée dans la semi pénombre. Il se dirigea vers Elise et se colla contre son corps, ses mains emprisonnant ses deux seins et les malaxant avec fougue.

L'implacable professeur se plaça alors derrière Sofia et l'immobilisa en saisissant ses cheveux. Sans violence mais avec fermeté, soufflant un « Chut, ça suffit ! » à son oreille, il la maintint immobile d'une main tandis que de l'autre il défaisait adroitement un nœud au niveau des cordes qui enserraient la taille d'Elise, libérant son entrejambe. Immédiatement la virilité du taureau, qui se frottait aux reins de la jeune entravée, vint se positionner contre l'entrejambe offerte. L'homme masqué fit coulisser son sexe contre l'intimité d'Elise, la frottant de la longueur de sa hampe dont le gland émergeait tel un sexe miniature. Malthazar poussa légèrement sur la nuque de Sofia pour approcher son visage de cet étrange appendice. Dans un même mouvement, une surveillante mena la jeune Devi derrière Sofia et guida Sofia pour lui faire tendre les reins vers l'arrière, de façon à ce que la jeune indienne puisse s'installer, allongée sur le dos, la tête entre ses cuisses. Une à une, les jeunes filles furent conduite vers le centre de la pièce, la suivante à quatre pattes s'installant entre les cuisses de Devi puis une autre encore, fut positionner sur le dos entre ses propre cuisses. Ainsi les pensionnaires formèrent une chaîne qui allait du bout de la pièce au corps d'Elise, suspendue en son centre. Malthazar s'installa au bout de la file et ses doigts écartèrent la fine culotte de coton, caressant du bout des doigts l'intimité offerte de la pensionnaire nommée Inge, fouillant ses lèvres écartées pour chercher le clitoris et le pincer doucement.

CARYSRFP

"Mesdemoiselles à présent gamahuchez-vous, caressez-vous, léchez et frottez, mais attention : la première qui prendra du plaisir sera ma jeune partenaire, ensuite la personne dont elle s'occupe à son tour aura le droit de connaître le plaisir. Et ainsi de suite, la chaîne du plaisir montera vers notre jeune entravée qui sera donc la dernière à connaître la jouissance. Soyez attentive au plaisir des autres, à celui que vous prenez et celui que vous donnez. Ne vous avisez pas de prendre du plaisir ou d'en donner avant que votre heure ne soit venue."

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Commentaires
L
Que voici une véritable torture.<br /> Retenir sa jouissance pour ressentir celle des autres...
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