Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les Ecrits Pourpres
Les Ecrits Pourpres
Derniers commentaires
Archives
11 janvier 2006

7. Prise au piège

warriorLa main puissante de Ravaknar avait saisi les seins de la russe et les pétrissait avec force, tandis que sa langue fourchue cherchait la langue de la doctoresse. Il saisit la tunique de Sofia et la déchira, en utilisant sa griffe d'acier, révélant sa poitrine, plus menue et ferme que celle de la Russe. Elle sentit le métal contre sa chair, se disant que les lames allaient s'enfoncer en elle et faire cesser ce cauchemar. Mais il n'en fut rien. Il se contenta de lacérer l'habit sur toute sa longueur, avant de pousser la tête d'Ilia vers celle de Sofia.

"Allons, préparez-vous à me recevoir comme il se doit, chiennes."

La bouche de la russe s'approcha de celle de sa compagne d'infortune. Elle murmura "Pour Avalon", avant que ses lèvres ne viennent se poser sur celles, tremblantes, de l'exploratrice. La bouche fraîche d’Ilia surprit Sofia, en se posant sur la sienne, et elle frémit quand sa langue fine vint caresser le carmin de ses lèvres cherchant sa jumelle. Elle sentit la main douce d'Ilia effleurer ses épaules et faire tomber ce qui restait de sa tunique au sol, puis glisser sur ses seins qu'elle caressa doucement, tandis que le dragon finissait d'arracher la blouse entrouverte, révélant un corps aux formes épanouies.

Sofia se livra d'abord aux caresses de sa compagne avec beaucoup de réticences, le corps tendu, les muscles crispés. Puis, peu à peu, elle se détendit et trouva, dans la douceur de ses caresses, un peu de réconfort, qui  allégea son esprit de ses terreurs, et, enfin, bien plus que du réconfort. Elle posa ses mains sur les épaules de la russe et les laissa glisser sur son corps, suivant doucement les courbes, appréciant la suavité du grain de sa peau. Elle s'enfermait dans la volupté de ses attouchements délicats comme pour nier l'horreur, la présence honnie du dragon. Rien d'autre n'existait plus que cet instant, hors temps, où la paume de ses mains partait à la découverte de cette délicieuse et tendre contrée. the_twins_2_by_bexai_1_

Ilia gémit sous la caresse de Sofia, et les doigts de la russe partirent à l'assaut du mont de Vénus de la jeune femme, écartant ses lèvres, glissant dans la fleur ourlée et humide, révélant le bouton perlé de désir. Elle appuya doucement, tirant d'elle des gémissements. Ilia glissa sa bouce avec lenteur, le long de son cou, de ses épaules,  ses lèvres découvrant le goût de la peau de Sofia. Elle embrassa les pointes érectiles de ses seins et se laissa doucement descendre le long du ventre musclé de la jeune femme. Sa bouche agaça un instant le nombril de Sofia, jouant avec la pointe de la langue sur l'ourlet de chair, avant de continuer son voyage. Elle se mit à genoux devant elle et posa sa bouche fraîche sur les lèvres intimes de Sofia. Doucement, du bout de sa langue adroite, elle écarta les pétales de son sexe et entama un lent mouvement circulaire, sur les chairs ouvertes et palpitantes, tirant des gémissements de plaisir de Sofia.

Ravaknar avait retiré son armure et se tenait debout, à côté d'elles, dans sa nudité terrifiante, son sexe, luisant et dressé, pointé vers elles comme une lance. Ilia prit le membre de Ravaknar dans sa main et commença à le caresser lentement, faisant glisser sa main fine sur la hampe noueuse. Le dragon gémit et saisit une des fesses de Sofia, la malaxant fermement, la poussant contre la bouche de la russe qui la dévorait.

Sofia mêla un gémissement à celui du dragon et, sans échapper à la dive torture, se laissa glisser à genoux. Lentement, fermant les yeux, elle approcha sa bouche du membre détesté, que sa compagne astiquait savamment. D'abord, elle l'entoura de son souffle, une caresse de sirocco sur l'énorme gland humide et saillant, sur les testicules lourdes. Puis, elle entrouvrit la bouche et laissa sortir un petit bout de langue avec lequel elle vint titiller la surface écailleuse de la hampe. Elle retint, à grand peine, l’envie de la lui arracher d’un coup de dents et transforma sa violence en coups de langue sauvages.

female_games_14_amelkovich_igorLe dragon gémit. Elle sentit sa main, lourdes griffes d'acier, venir se poser sur sa tête. Le contact froid et glacé des lames sur sa peau la poussait en avant, vers la hampe vibrante de la bête. La bouche d'Ilia ne cessait pas son ouvrage sur le sexe de Sofia, comme pour l'encourager. Elle redoublait d'ardeur dans ses caresses, enfonçant sa langue dans son vagin. Allongée au sol, se glissant entre les cuisses de Sofia, agrippée aux fesses de sa compagne, elle appuyait sa bouche avidement contre son intimité. Le gland du dragon poussait sur les lèvres de Sofia. Elle laissait sa langue découvrir le gland, gonflé, étonnamment dur du dragon, recueillir l'humidité qui suintait de son méat. Les griffes d'acier pesèrent plus fort. Elle arrondit sa bouche et la chair chaude du sexe inhumain commença à pénétrer le O de ses lèvres.

Elle accompagna la pénétration, détendant sa bouche pour que l'ignoble intromission se fasse plus facilement, faisant danser sa langue sur toute la surface du membre, poussant le vit contre son palais puis le libérant, faisant aller et venir sa tête en mouvement amples et longs puis en petits coups rapides et secs et revenant à nouveau à une plus grande amplitude. Brusquement, elle s'écarta, le libérant de son étreinte buccale mais, conservant les lèvres entre ouvertes, langue affleurante, elle fit basculer sa tête dans la main griffue qui la retenait, poussant son crâne dans la paume dure et glacée, la forçant à l'accepter. Alors, elle tourna un peu la tête et nicha son visage entre les griffes, caressant sa joue sur les lames, les effleurant de sa bouche, en percevant à chaque fois le danger du tranchant, jouant sur le fil du rasoir. Elle sentit la lame inciser sa lèvre inférieure. Elle échappa aux griffes et reposa sa bouche sanguinolente sur le membre tendu, l'humidifiant de son sang et de sa salive, avant de l'engloutir à nouveau et de recommencer à jouer furieusement avec sa langue, tandis que son ventre palpitait follement sous les caresses d'Ilia.

Le dragon gronda, regardant son membre sanglant entrer et sortir des lèvres de l'étrangère. Il prit une poignée de cheveux de Sofia et, la maintenant solidement, il la força à lâcher son membre. La renversant au sol, il la coucha sur le dos, poussant la tête d'Ilia entre ses cuisses, pour qu'elle continue son oeuvre sur la vulve de la jeune femme. Il s'allongea sur le dos d'Ilia, présentant son sexe à l'entrée de celui de la russe et la pénétra d'une poussée, lui arrachant un feulement. Se penchant sur le corps secoué de spasmes de la doctoresse, il la força à s'écarter du sexe qu'elle léchait et, appliquant sa bouche sur l'entrecuisse de Sofia, darda sa langue dans l'intimité de la captive. Une langue longue de près de vingt centimètres, à la pointe fourchue, immédiatement s'activa dans son vagin, la remplissant, la fouillant, se tortillant en tous sens, tandis qu'il s'enfonçait dans les chairs de la femme allongée sous lui. Il glissa une main sous les fesses de Sofia, un de ses doigts, épais comme un sexe d'homme, titilla un instant son anus et s'enfonça brusquement dans ses reins.

Sofia qui haletait et gémissait, cherchant le corps d'Ilia, mains tendues en avant, se saisissant de sa poitrine qu'elle malaxait fébrilement, poussa un cri rauque. Son intimité brûlante, surchauffée par la langue d'Ilia, ruisselait sous le harcèlement lingual du dragon. Elle s'arque bouta, le corps secoué de spasmes sous le doigt immonde qui violait ses reins.

Ilia gémissait, secouant sa tête de gauche à droite, comme prise d'une crise d'épilepsie. Elle cria soudain, s'agrippant aux bras du dragon, les membres tremblants. Celui-ci la repoussa et quitta son sexe. Son membre, luisant et tendu, vint se frotter à l'entrejambe de Sofia. Elle sentit le gland imposant appuyer à l'orée de son sexe et, soudain, venir la remplir de sa présence. Il s'enfonça dans son sexe brûlant avec facilité. À son corps défendant, elle était ouverte et ruisselait de désir, gémissante, alors que le membre de la bête la perforait, pénétrait en elle.

Elle le reçut et l'accueillit avec une hargne meurtrière, qui pouvait passer pour de la passion érotique. Elle se cambrait et selr79 détendait furieusement, lançant ses hanches vers le bas ventre du dragon, cherchant à happer son sexe, à l'engloutir, à le broyer en elle. Elle resserrait ses muscles pelviens puis les relâchaient, pour serrer plus fort encore. Elle saisissait le dragon, enfonçant ses ongles dans ses omoplates pour l'attirer plus fort en elle, pour le prendre tout, le détruire, l'anéantir. Ce n'était pas une femelle qu'il pénétrait mais une furie incendiaire.

Elle le pressait, le prenait pour le rejeter et le reprendre. Jamais de toute sa vie de dragon, il n'avait connu pareille amante. Il sentait son membre dur et tendu, comme rarement auparavant. Elle se débattait contre le plaisir qui montait en elle, le combattant, lui résistant, puis cédant pour mieux le repousser. Il se retira du sexe qui vibrait autour de lui et, d'une poigne puissante, retourna Sofia sur le ventre, la maintenant fermement plaquée au sol d'une main, tandis que, de l’autre, il saisissait la main d'Ilia pour la poser sur le sexe de la jeune femme, haletante sous son corps. Immédiatement, les doigts de la russe se firent un devoir d'aller fouiller l'intimité de la jeune femme, son pouce appuyé sur le clitoris vibrant. Sofia sentit le gland de Ravaknar appuyer sur sa rosette, commencer à peser sur ses reins.

Elle faillit hurler son dégoût et se débattre et se mordit les lèvres. Elle rouvrit sa coupure. Le goût du sang empli sa bouche, les larmes ses yeux. Ilia, à ses côtés, perçut son désarroi. Le sexe de Sofia s'était brusquement rétracté sous ses doigts. Elle reprit sa caresse, tout en douceur, très lentement, plongeant ses yeux, sombres braises ardentes, dans ceux, douloureux de la jeune femme. De sa main libre, elle chercha sa main qu'elle pressa fortement. Sofia ferma les yeux et laissa échapper un gémissement guttural quand le sexe du Dragon la pénétra, poussant au plus profond de ses entrailles, forçant l'étroit passage sans ménagement. Son coeur cognait, à l’étroit dans sa poitrine, son corps lui semblait incandescent et glacé à la fois. Elle se sentit défaillir.

Il s'enfonça en elle, d'une seule longue poussée, se fichant dans ses reins, sentant l'anneau, serré et brûlant, céder sous son passage. Il fit peser son pubis sur son dos, son membre entièrement logé dans les reins de Sofia. Il resta un instant immobile, sentant, à travers la fine séparation, les doigts d'Ilia qui s'activaient dans l'intimité de sa victime. Il commença alors un mouvement de va et vient de plus en plus ample, de plus en plus rapide, faisant coulisser son épée dans le fourreau étroit et moelleux de ses reins. Petit à petit, il la sentait s'ouvrir, s'offrant aux caresses d'Ilia et tendre ses reins vers son membre qui l’assaillait sans trève. Alors, il augmenta encore la force de ses coups de reins. Elle gémissait sous les coups de boutoir et sous celui des quatre doigts d'Ilia qui s'enfonçaient en elle. Il pouvait la sentir vibrer autour de son pal, tandis qu'elle gémissait non, non, non. Il accélera encore, pendant qu'Ilia prenait la bouche de Sofia pour apaiser ses cris, s'enfonçant en elle encore et encore, se retirant pour la reprendre plus fort. Il poussa un grognement, un râle inhumain, en se fichant en elle, répandant sa semence à gros bouillons dans ses reins, tandis que Sofia feulait, poussant un ultime gémissement dans la bouche d'Ilia. Et il s’affala sur le corps de sa proie.

Sofia, les muscles douloureux, étouffait. Il  pesait sur elle, l’écrasant de tout son poids, alors que son propre corps, encore tremblant, vidé de toute résistance et de toute énergie, s'était effondré après le dernier spasme de plaisir/souffrance. Son ventre brûlait et pulsait encore. Elle n'arrivait plus à bouger, à peine à respirer, et il ne semblait pas décider à s'écarter d'elle. Elle rouvrit les yeux, troublée honteuse du plaisir qui la bousculait encore, et chercha l'aide d'Ilia.

Ilia avait les yeux mi-clos, le corps encore submergé de plaisir. Elle se releva sur son avant-bras, se secouant pour sethe_come_to_life_angel_vasiljeva_elena sortir des spasmes qui la parcouraient encore. Elle poussa doucement le corps du Dragon sur le côté, pour libérer Sofia de son étreinte. Elle avait les yeux voilés, et semblait avoir du mal à coordonner ses pensées.

"Il faut,… il faut rester lucide… les dragons, ils… ils sécrètent une sorte de sérum durant la copulation, un puissant vasodilatateur aux effets aphrodisiaque redoutable. Je pensais que nous pourrions gérer cela, mais il semble bien que les recherches de Knemarak en la matière aient énormément progressée. Je… je… n'ai jamais rien ressenti d'aussi redoutable. J'ai le ventre en feu." Disant cela, la main d'Ilia glissait doucement sur le dos de Sofia, pour atteindre ses fesses. Caressant le sillon qui séparait les deux globes, elle enfonça deux doigts dans la rosette encore ouverte de sa compagne, recueillant la semence du dragon qu'elle amena à sa bouche, s'en délectant du bout de la langue et proposant ses doigts à Sofia,

Sofia se sentait tout aussi brûlante que sa compagne mais elle souriait maintenant. Ce désir incendiaire qui avait ravagé ses chairs, ce plaisir fiévreux, tout cela n'était dû qu'à un processus purement chimique et elle s'en trouvait profondément rassurée. Elle attrapa la main d'Ilia, l'approcha de sa bouche, fixant les yeux noirs de la belle russe, puis serra les doigts de toutes ses forces. Ilia poussa un cri et lutta pour se libérer.

"Je suis désolée, Ilia..." dit-elle d'une voix haletante, serrant encore davantage l’étau de ses doigts sur la main de la russe "Mais je crois que la douleur, sans plaisir, peut… doit… parvenir à envoyer un message chimique qui… qui supplante les effets du sérum des dragons. Alors... je vous en prie... faites-moi mal avant que l'envie ne soit plus tolérable ... je... vous ... en prie"

L’hésitation et la douleur se peignaient sur le visage de la russe. Un instant, elle sembla prête à basculer dans la tourmente du désir qui harcelait son ventre,  puis ses traits se durcirent. Elle secoua son bras plus fort, libérant sa main douloureuse, l’ouvrit dans une grimace, et appliqua une gifle magistrale à Sofia qui rouvrit la blessure de sa lèvre. La jeune femme secoua la tête, sentant le désir dans son ventre refluer doucement. Elle inspira une grande goulée d'air et se redressa. Elle prit dans un des coffres deux capes noires, en posa une sur ses épaules et enveloppa Ilia avec l'autre. Elle se saisit aussi d'une dague longue et effilée. Un instant, elle fut tentée de l'enfoncer dans la gorge du dragon assoupi, mais elle se retint. Elle avait pu constater la dureté de ses écailles et elle n'était pas du tout certaine de pouvoir le tuer rapidement. Elle n'osait imaginer ce que pourrait donner cette masse de muscles, blessée et en colère. Elle aida Ilia à se relever. La russe semblait avoir retrouvé un peu ses esprits.

"Il faut nous enfuir, par là où nous sommes arrivées, c'est la seule issue. Impossible de passer par la porte de la citadelle, nous serions tout de suite repérées."

Elles ouvrirent, avec d'infinies précautions, la porte de la chambre et se glissèrent dans le couloir désert. Rapidement, elles avancèrent, essayant de se rappeler le chemin qui les avait menées en ces lieux.

Elles arpentaient un couloir obscur, lorsqu'une forme se détacha du mur à quelques mètres d'elles. Elles se figèrent. La forme avançait vers elle. À la lueur d'une torche, elles reconnurent Jukonna. Il se tenait à quelques mètres d'elles, les regardant, ses yeux jetant des lueurs fauves, inquiétantes dans la pénombre.

Sofia, sans réfléchir, repoussa sa compagne dans la pénombre et se rua sur lui, la lame de sa dague dardée vers la poitrine offerte du dragon, avec un grognement sourd

"Traître !"

Elle le percuta de tout son élan, le déséquilibrant, faisant chuter la torchère au sol. Dans les ombres rouges qui dansaient sur les murs étroits, le dragon luttait pour comprendre ce qu’il lui arrivait, tandis qu'elle brandissait haut son arme pour frapper à la gorge.

Jukonna détendit une de ses pattes et saisit le bras de Sofia avant qu'il ne s'abatte sur lui. Il était d'une vitesse et d'une agilité étonnante. Il fit rouler Sofia sur le côté et, tordant son bras, lui fit lâcher la dague qu'elle tenait. Son autre main se glissa dans sa ceinture et en retira une lame courbe, très fine, qui jeta des éclats métalliques dans l'obscurité. Il posa la lame effilée contre le cou de Sofia. Sa tête s'approcha de celle de Sofia

dragonmesh3"Calmez-vous, par tous les dieux ! Je suis venu pour vous aider à vous enfuir. Je vous suis depuis la rivière, mais j'ai dû attendre la nuit pour me glisser dans la forteresse."

Il relâcha un peu la prise autour de Sofia, qui ne bougea pas, pour fouiller dans une de ses sacoches à courriers. Il en retira un sceau aux insignes de Nekas.

"Je sers le Seigneur Nekas depuis mon enfance. Il m'a chargé de votre protection, et de trouver le traître qui se cache parmi nous."

Sofia se calma définitivement. Ilia, qui s'était approchée précautionneusement pour prêter assistance à Sofia, les avait maintenant rejoints et détaillait Jukonna, visiblement stupéfaite

"Jukonna ! Le plus futile des Dragons d'Avalon, serviteur secret de Nekas ! Qui l'eut cru !"

Sofia sourit à cette exclamation et secoua la tête en approuvant. Le cœur battant, elle rengainait son arme tout en renchérissant

"Jukonna vous êtes parfait, vraiment parfait ! Et parfaitement insoupçonnable ! Bien trop bavard pour qu’on puisse se douter de quoique ce soit ! Et je suis bien heureuse que vous soyez ce que vous êtes ! Vous êtes aussi agaçant que sympathique …, fit-elle en riant, et je n’aurais pas aimé que vous soyez un ennemi ! Il faut que nous sortions d’ici au plus vite. Je crains que l’on ne finisse par s’alarmer de notre fuite. Marchons ! Et vous nous direz si vous avez des soupçons concernant le traître … »

Le petit dragon se releva, gardant son poignard à la main.

"Des soupçons ? Non, je n'ai pas de soupçons, j'ai une certitude. Je sais qui est le traître."

(Ps : Certaines images furent allègrements empruntées au blog d'Exigeant)

Publicité
Commentaires
E
Merci Touams de votre enthousiasme polyglotte (j'ai bien noté que votre prochain com. se ferait en chinois... je suis assez impatiente de voir ça !)et bien que vous dire, sans trop en révéler, sinon que nos héros n'en ont pas fini avec le "mauvais côté de la Force" !<br /> Préparez donc un café serré pour la douce Cats... et plongez-y une gousse de vanille, qu'un peu de douceur apaise vos coeurs !
C
Fabuleux<br /> Fabuleux et grisant<br /> Oh faites le très fort, Touams, ce café!
T
Je reste sans voix / sans voie / sans vois, sans plus rien d’ailleurs, sans qualificatif, abondamment utilisé par mes soins. Donc pour changer un peu, je vous le fais autrement.<br /> <br /> This new chapter is fabulous. I start to know you, and I patiently awaited this meeting with the dark forces. Useless to say that I am not disappointed of the result. On the other hand, Did I say to you that I adore your texts? No ? Well, dear Elle and dear Lui, not only you write very well, but also with passion. Thank you for these moments spent to read you.<br /> <br /> Au prochain coup je vous le fais en chinois. <br /> Bon, Douce Cats, je vous attends au café.
Les Ecrits Pourpres
Publicité
Newsletter
Publicité