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Les Ecrits Pourpres
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14 janvier 2008

2. L'Examen...

"A présent il suffit, vous avez trop joué de notre patience, sortez de ce bain et séchez-vous, tout de suite."

2005_2006_nonne_sanglanteElle tressaillit mais obéit, quittant le cocon du bain et s'enroulant dans une serviette rêche, se frottant pour se sécher, enroulant la rude étoffe autour de son corps nu.

"Et puisque vous ne savez ni tenir votre langue ni obéir en temps voulu, apprenez ces premières règles : il n'est toléré aucun écart ; on ne parle que lorsque l'on est interrogé ou que l'on a reçu la parole, sinon il en coûte. Mes soeurs maintenez-la."

Les deux nonnes s'emparèrent d'elle et la tournèrent face à la grande table attenante au baquet, lui faisant poser les mains à plats sur le bois sombre et la tenant fermement.

"Dix coups de verges pour vous apprendre l'obéissance et les vertus du silence. Que je ne vous entende point proférer un mot ou pousser le moindre cri pendant que je grave cette leçon dans vos chairs."

Effarée, elle vit la mère supérieure contourner la table pour se placer derriere elle, tenant à la main une longue baguette de bois. Sa main sèche et rude arracha la serviette qui couvrait sa nudité et la branche siffla dans l'air, s'abattant fermement sur ses fesses.

"Et de un !"

Sofia eut un sursaut et se cabra sous la douleur mais retint son cri en se mordant les lèvres. Poussant une profonde expiration, elle obligea son corps à se détendre, attendant le second coup qui ne tarda pas mais dont la sécheresse la surprit et la fit se rétracter à nouveau. Cependant aucun son ne s'échappa de ses lèvres serrées et blêmes. Deux nouvelles volées la firent se tordre et à ses yeux perlèrent des larmes de douleur. Ses fesses brûlaient et le feu dévoraient lentement son dos de manière insupportable. Malgré tout, elle se repositionnait d'elle-même, sans qu'on lui en donna l'ordre, acceptant le châtiment avec un courage que la mère supérieure mit immédiatement sur le compte d'un orgueil coupable et qu'il faudrait briser. Elle ne retint nullement sa main pour les coups suivants et la baguette, qui jusque là rougissait la chair tendre de son postérieur, frappa si fort que le sang perla au huitième coup. Sofia se tordait entre les mains des deux soeurs, le corps vrillé par la douleur et son petit visage grimaçait , baigné de larmes. "Il en reste encore deux" annonça la mère supérieure et Sofia perçut toute la menace contenue dans cet avertissement.

      

La mère supérieure releva haut son bras et fit claquer avec violence la baguette sur ses fesses, la propulsant contre la table. Elle se mordit les lèvres jusqu'au sang pour ne pas hurler alors que la main ferme et pourtant étonnamment douce de la mère supérieure se posait sur ses globes enflammés.

"Encore un et la leçon sera entrée je pense."

Elle s'appliqua à frapper si fort ce dernier coup que la baguette se rompit sur elle. Sofia s'effondra en silence contre le bois de la table, le corps secoué de tremblements.

"A présent allongez-la sur le dos."

Les deux soeurs la soutinrent et la positionnèrent sur la table froide et rugueuse qui mit son postérieur malmené à rude épreuve.

"Mettez-lui ce bandeau afin qu'elle ne voit pas son entrejambe à l'examen, ce lieu de lucre et de débauche."

Elle frissonnait tant des paroles de la mère que par le froid de la table sous ses fesses brûlantes. Une des soeurs luiInterno_20di_20un_20convento posa un bandeau, le serrant fermement et l'aveuglant.

"Écarte les cuisses."

Elle ne réagit pas dans un premier temps.

"La leçon ne serait-elle pas rentrée au final ?"

Devant cette sourde menace, elle céda et le delta de ses jambes s'ouvrit.

"Mes soeurs vérifiez que nulle main d'homme n'a touché ses mamelles de pécheresse tandis que j'inspecte son antre."

Elle sentit les mains des soeurs se poser sur son corps et commencer à palper ses seins, les inspectant avec minutie, alors que la main de la mère supérieure se posait sur son entrejambe et, qu'un doigt, séparait les lèvres nacrées de son coquillage.

C'en était trop pour sa pudeur. Alors qu'elle avait su contenir toute révolte et ses cris pendant la punition, elle ne put supporter l'idée d'une intrusion dans son corps de vierge. Et, malgré la douleur qui irradiait ses reins et son état d'épuisement, elle se mit à se débattre avec l'énergie du désespoir, s'égosillant de désespoir, hurlant son refus tandis que les soeurs, implacables, la rejetaient rudement sur la table. Éreintée, elle se mit à sangloter, murmurant :

"Je vous en prie, je vous en supplie, ô mon Dieu, non, je ne veux pas, je vous en prie, pas ça, pas ça"

Et elle secouait sa tête faiblement, tremblant de tous ses membres.

Les mains fermes des soeurs la plaquèrent sur la table, la rendant à une immobilité désespérée ; fermement elles avaient chacune prit un de ses bras et de l'autre main avaient saisi une de ses jambes, la relevant pour la forcer à ouvrir son entrejambe.

"Vous devriez vous souvenir de garder le silence. Voilà de biens véhémentes façons, c'est à croire que vous voulez nous cacher quelque chose jeune fille. Vous seriez coupable de quelques impuretées que vous ne feriez pas moins de démonstration pour nous empêcher de constater votre forfaiture." La voix de la Mère supérieure était un souffle rauque remplie de menace.

"Allons maintenez-la bien, que je constate par moi-même l'état de cette fleur."

Elle se pencha entre les cuisses ouvertes de le jeune fille et admira son sexe recouvert par un fin duvet de poils noirs, les lèvres roses et ourlées dessinant une fente régulière. Dans la position où la pénitente se trouvait, les jambes largement relevées, elle lui présentait aussi son oeillet, oeil sombre et resserré qui semblait l'observer. La Mère supérieure eut un sourire alors que le corps de sa victime se crispa lorsque ses doigts touchèrent les lèvres, glissant dessus en une lente caresse.

"Ne vous cabrez donc pas petite sotte, soyez au contraire heureuse que j'aille progressivement dans mon examen pour ne pas blesser votre intimité."

intimate_confessions_of_a_chinese_courtesean_examen_de_virginite2_fef9f30076ee49a83b2e14b0334d60e2Son doigt posé sur sa fente commença à monter et descendre doucement ; chaque passage écartait un peu plus les lèvres de la jeune fille. Au fur et à mesure, il s'enfonçait entre les corolles lègérement humides. La mère eut un sourire satisfait en direction de l'abbé, debout à côté d'elle. Il était entré discrètement dans la pièce et observait silencieusement le sexe de la jeune fille entravée et aveuglée. Sa main allait et venait sur sa queue bandée qu'il avait extirpé des replis de sa soutane. La mère supérieure passa rapidement le doigt qu'elle venait de retirer de l'entrejambe ouvert sur les lèvres de l'abbé. Il lui rendit son sourire en constatant que le doigt de la mère supérieure était légèrement humidifié. Bien sûr c'était encore peu de chose, mais c'était un début, la petite garce se montrait réactive. La mère supérieure reprit sa caresse.

"Voilà, détendez-vous, respirez amplement, je vous promets de faire très attention, il ne faudrait pas endommager cette fleur, si toutefois elle est encore en floraison."

La jeune fille tentait de juguler l'affolement de son corps comme elle le pouvait et, frémissante de honte, osait à peine respirer. Sous le bandeau, ce qu'elle ressentait de cette intrusion honnie lui apparaissait à la fois plus terrible et bien plus troublant que ce qu'elle en avait envisagé. C'était moins violent que ce qu'elle avait cru cependant. Mais la douceur avec laquelle procédait la mère supérieure n'en n'était que plus éreintante pour ses nerfs et faisait durer son humiliation. Elle eut préféré une violence qui lui garantisse un prompt achèvement que l'exaspérante lenteur de ces effleurements prudents qui la terrorisaient et perturbaient ses sens. Le souffle court, dans l'attente de sensations qui la surprenaient sans cesse, elle se sentait prise de vertige et presque nauséeuse. Oh comme elle voulait que tout s'arrête ! Mais elle s'abstenait sagement de toute plainte et de tout mouvement, ne luttant plus, espérant hâter sa libération par sa plus totale obéissance. Seuls les battements désordonnés de son coeur et les frémissements de sa peau trahissaient son émoi.

      

L'abbé détaillait le corps superbe de la jeune fille allongée sur la table. Elle avait fini de lutter et se laissait à présent manipuler sans plus rien dire. Il regardait la poitrine de Sofia monter et descendre au gré d'une respiration de plus en plus saccadée. Ses seins, petits et fermes, semblaient délicieux, leurs tétons se dressaient, charmantes framboises sombres qui trahissaient ses émotions. Le ventre plat bougeait de façon imperceptible sous les doigts experts de la mère supérieure. Celle-ci continuait doucement sa progression, lissant les lèvres et ouvrant l'accès à son intimité. Son autre main s'était saisie du sexe de l'abbé et l'agitait doucement, le massant avec science. L'abbé connaissait le talent de soeur Justine, la mère supérieure du couvent des Ursuline. Elle savait, plus que toute autre, comment toucher un sexe de quelque nature qu'il soit, pour l'amener au plaisir. Ses doigts démoniaques ouvraient millimètre après millimètre l'entrejambe de la jeune femme. De temps en temps, un doigt s'égarait, comme par maladresse, sur le capuchon du clitoris, l'agaçant un instant, puis reprenant leur ouvrage appliqué, ses doigts s'enfonçaient davantage dans la frémissante intimité dont elle avait déjà deviné la totale virginité.

"Parfait, nous approchons du but, nous allons être fixés et croyez-moi jeune fille, je vais prendre soin de m'appliquer à ma tâche ; continuez à vous laisser bien faire, sinon l'épreuve n'en durera que plus longtemps."

Sofia ne broncha pas, s'efforçant même de détendre son corps crispé pour preuve de sa coopération. Les yeux de laim06 mère supérieure s'allumèrent d'un éclair de concupiscence. Elle enfonça son doigt a l'entrée de son intimité, touchant du bout de la pulpe son hymen intact. Mais elle ne cessa pas là, feignant de ne pas trouver ce qu'elle cherchait, elle se mit à tourner doucement à l'orée de son sexe, les doigts légèrement enfoncés dans son entrejambe. Elle avait posé son pouce sur son clitoris comme si elle s'appuyait dessus pour effectuer sa fouille. En fait, tournant doucement, elle avait mis à jour le petit organe sensible et le massait avec une suave précision.

Les frémissements de la prude captive s'intensifièrent d'autant. Elle ouvrit la bouche comme si elle avait manqué d'air, effarée par ce qui s'éveillait en elle. Une chaleur diffuse, un picotement sensuel remontaient de son ventre et faisaient brûler son coeur affolé. Elle happa l'air deux, trois fois et laissa enfin échapper un faible gémissement qui sembla, malgré sa petitesse, raisonner sous la voûte du couvent de façon totalement incongrue.

"Pitié!" murmura-t-elle dans une expiration emplie d'effroi. Et son corps, qu'elle avait abandonné à l'examen, se raidit et sembla se rétracter à nouveau.

      

La mère supérieure sourit en la voyant fuir devant le plaisir qui l'envahissait. De toute façon, il n'était pas encore temps pour elle d'avoir du plaisir. Ce moment là viendrait bien assez tôt. Elle avait suffisamment jaugé sa réceptivité qui semblait tout à fait propice aux jeux qui se préparaient pour elle. Elle retira son doigt de son intimité et le porta à ses lèvres. Cette petite catin avait un goût exquis, cela allait être un vrai bonheur de dévorer son entrejambe. Elle prit le sexe de l'abbé plus fermement et celui-ci s'avança. Le gland gonflé se positionna à quelques millimètres du sexe humide et ouvert de la jeune fille. La mère supérieure l'astiquait avec art, tout en lui faisant goûter le parfum de la vierge sur son doigt qu'il suça avec délectation.

"Eh bien voici une bonne chose ma fille, vous êtes pure et sans reproche, c'est bien ! Je vais à présent passer de l'huile sainte sur votre sexe afin de le purifier et de le sanctifier."

Sa main s'agita plus vite sur le sexe tendu de l'abbé. Il l'observait les yeux exorbités, partagé entre sa raison qui lui dictait d'attendre et son désir de s'emparer de ces cuisses offertes et de forcer sans ménagement ce jeune corps. Il mordit son poing pour étouffer son gémissement alors qu'il jouissait dans la main de la mère supérieure. Les giclées de sperme allèrent frapper le sexe de Sofia, le souillant de traînées blanchâtres. La mère supérieure, avec un sourire cruel, l'étala des doigts, prenant soin de recouvrir de sperme l'intimité virginale tandis que l'abbé se rajustait et se glissait discrètement hors de la pièce.

"Voici mon enfant, vous êtes sanctifiée ! Enlevez son bandeau à cette jeune fille et donnez-lui une tenue pour qu'elle puisse se vêtir avec ce qui convient à son innocence."

moine_6e32dÉtourdie et aveuglée, encore toute palpitante de crainte et des prémisses du plaisir, elle retrouva la lumière du jour sans ménagement. Déjà les deux nonnes la faisaient se relever, toute chancelante et lui tendait une pauvre robe de lin et un surcot de bure en lui enjoignant de les enfiler promptement. S'appuyant d'une main peu sûre à la table où elle venait de subir son premier affront, elle finit par réussir à retrouver un peu de décence en même temps que ses esprits et son équilibre. Maladroitement et avec gêne, elle se redressa tout en lissant sa robe du plat de la main pour signifier qu'elle était prête, gênée par la froide moiteur qui couvrait son entrejambe.

      

Ce n'est qu'en suivant les soeurs qui la menaient vers sa cellule qu'elle prit conscience qu'on ne lui avait point donné de dessous et que s'était nue sous sa robe qu'elle avançait dans le couloir du couvent. Elle n'osa pas demander si cela était un oubli ou une mortification supplémentaire à son encontre. Elle se laissa ramener à sa cellule en silence et entendit la porte se refermer sur elle avec un certain soulagement. Elle ne put réprimer un frisson d'angoisse lorsqu'elle entendit le bruit de la clé scellant sa porte. Elle se laissa tomber sur son lit, la tête dans l'inconfortable coussin rembourré de paille, et ses larmes, longtemps retenues, se mirent à couler. Terrassée par ce qu'elle venait de vivre, elle sombra quelques temps, dans une somnolence perturbée de rêves. Lorsqu'elle se réveilla, la nuit était tombée sur le couvent et la pièce où elle se trouvait était quasiment plongée dans le noir. Elle sursauta lorsque la porte s'ouvrit sur une soeur portant un plat rempli de légumes fumants ainsi qu'un morceau de pain et une tranche de viande fumée.

"Voici de quoi vous restaurer, la mère supérieure vous dispense de dîner au réfectoire aujourd'hui, vous pouvez restez dans votre cellule. Par contre, je ne vous conseille pas de vous coucher avec votre robe. Si elle est par trop froissée notre mère en concevra un grand courroux. Je suis soeur Lucie, c'est moi qui m'occuperai de vous pendant votre séjour parmi nous."

La soeur, qui lui parlait avec bienveillance, semblait à peine plus âgée qu'elle. Elle avait un visage doux et avenant etvirginite quelques mèches de cheveux blonds dépassaient de sa coiffe, prouvant qu'elle n'avait pas encore prononcé ses voeux définitifs. Elle posa le plateau sur le petit meuble de toilette et lui désigna le tabouret.

"Vous pouvez manger là-dessus, mais je vous conseille de poser le plateau sur vos genoux pour manger c'est bien plus confortable. Prenez garde à ne pas tacher votre robe ; s'il est une chose que notre mère ne saurait admettre c'est une personne qui ne sait prendre soin de ses affaires. Je reviens, je vais vous chercher une cruche d'eau, vous devez être assoiffée."

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Commentaires
J
Vous nous avez fait languir mais cela en valait la peine ^^ voilà un début début d'année prometteur....j'adoreeeeeeee<br /> Jessi
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