3 août 2005
Des suites lamentables d’un Décaméron qui tourne court
Ainsi me voici, à genoux, pénitente d’une peine qui me dépasse, en la paroisse de St Gland le Gonflé, selon Sa volonté à Lui, pour expier vos silences qui me contraignent au mien. Ainsi me voilà, la tête lourde de récits que je n’écrirai pas, les mains...